Les vrais, les durs, les tatoués : l'histoire du tatouage à Biribi
Le livre "Les vrais, les durs, les tatoués" de Jérôme Pierrat et Eric Guillon raconte l'histoire du tatouage à Biribi, le surnom donné aux bagnes militaires français du XIXe siècle. Cette pratique était très répandue chez les prisonniers et les personnes issues du milieu criminel.
L'école française du tatouage
Au début du siècle, pour être un membre respecté du Milieu, il fallait être tatoué. Cette "école française du tatouage" est née dans les bagnes militaires, où les prisonniers tatoués étaient considérés comme des "durs" et des "vrais" qui avaient survécu à l'enfermement. Cette pratique était également liée à la culture du secret et de la solidarité entre les membres du Milieu, car les tatouages permettaient d'identifier les membres d'une même organisation criminelle.
Le tatouage comme marque d'infamie
Cependant, le tatouage ne servait pas uniquement à marquer l'appartenance à un groupe criminel. Dans les bagnes militaires, il était souvent utilisé comme une marque d'infamie. Les prisonniers étaient tatoués avec des inscriptions telles que "sale voleur", "vaurien" ou encore "ivrogne" pour stigmatiser leur comportement et leur passé criminel.
Les tatouages à Biribi
Le livre "Les vrais, les durs, les tatoués" se concentre sur les tatouages à Biribi, les bagnes militaires français situés en Algérie. Les prisonniers tatoués à Biribi étaient souvent des soldats qui avaient déserté ou commis des infractions militaires. Le tatouage était utilisé pour identifier les prisonniers et pour les empêcher de s'évader. Les tatouages étaient souvent réalisés de manière artisanale, avec des aiguilles et de l'encre de Chine.
Des tatouages codifiés
Les tatouages à Biribi étaient souvent codifiés et suivaient des règles précises. Par exemple, un prisonnier tatoué sur l'avant-bras gauche était considéré comme un "faible", tandis que celui tatoué sur l'avant-bras droit était un "fort". Les tatouages pouvaient également indiquer le crime commis par le prisonnier ou le temps passé en prison. Certains motifs étaient réservés aux prisonniers de haut rang, tels que les chefs de gang.
Tatouage et société
Le tatouage était mal vu dans la société française de l'époque, considéré comme une pratique barbare et primitive. Les prisonniers tatoués étaient stigmatisés et avaient du mal à trouver du travail une fois leur peine purgée. Cependant, le tatouage s'est popularisé dans les années 1920 et est devenu une pratique esthétique, surtout chez les marins et les artistes de cirque.
Conclusion
Le livre "Les vrais, les durs, les tatoués" explore l'histoire fascinante du tatouage à Biribi et son rôle dans le milieu criminel français au début du siècle. Les tatouages étaient utilisés pour identifier les membres d'une même organisation criminelle, mais aussi pour stigmatiser les prisonniers et les empêcher de s'évader. Cette pratique a contribué à la création d'une "école française du tatouage" qui perdure encore aujourd'hui.
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